Laboratoire du Changement Social et Politique


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Présentation du LCSP


Le LCSP résulte de la fusion du LCS (Laboratoire de changement social, spécialisé en sociologie clinique) et du CSPRP (Centre de sociologie des pratiques et des représentations politiques) en 2014.

Sociologues, anthropologues et philosophes mènent leurs recherches sur le changement social, dans une perspective inter et pluridisciplinaire. Critiques des formes d’assujettissements contemporains, elles et ils explorent les conditions et processus de subjectivation, luttes, émancipation et dégagement.

Cette équipe de recherche est organiquement liée à 5 parcours de masters spécialisés, dont les thématiques constituent les axes du laboratoire, axes autour desquels les enseignant.es chercheur.es, doctorant.es et membres associée.es se retrouvent :

• sociologie clinique et psychosociologie (2 parcours de master),
• politiques culturelles,
• genre,
• et politique.

Le LCSP est rattaché à l’École Doctorale 624 : https://ed624.u-paris.fr/

Les trois autres laboratoires impliqués sont : le CRPMS (Centre de recherches psychanalyse, médecine et société), ainsi que le CANTHEL (Centre d’anthropologie culturelle) (http://canthel.shs.parisdescartes.fr/) et PHILéPOL (https://shs.u- paris.fr/laboratoires/philepol/), deux autres laboratoires de l’ex-Université Paris Descartes, et donc de Paris Cité aujourd’hui. Le projet de CHC vise à créer un pôle de recherche et de débats interdisciplinaires en parallèle du travail autonome de nos propres unités. Plus exactement, il s’agit d’un travail en recherches sociales (anthropologiques, linguistiques, politiques et sociologiques), en philosophie et en études psychanalytiques. Il s’agit ainsi de favoriser les échanges et d’augmenter le potentiel collaboratif et de diffusion des recherches de ces unités et ainsi de mettre en discussion les disciplines pour en protéger la signification et en étendre la portée. Plus précisément, le CHC a pour ambition de favoriser, valoriser et promouvoir une recherche interdisciplinaire de haut niveau à l’interface du social, du politique et du psychique.

Le premier acte du CHC a été un travail autour d’un thème : « Le pouvoir d’être affecté : souffrances et émancipation », décliné en 4 chapitres :

1) Corps, mémoire et subjectivité (que peut le corps ? Le corps dans un dispositif analytique, médical, souffrance et vulnérabilité) ;

2) Question des affects au travail, travail des affects (reconfiguration du sensible au travail, stress, burn out, suicide) ;

3) Rassemblements, soulèvements, résistance (Butler et la politique du performatif, discours politique et critique : qu’est-ce que résister ?) ;

4) Ce que parler peut faire.

L’idée était d’organiser un colloque. Mais il a fallu le reporter du fait de la crise sanitaire du Covid. Transformé, le projet est devenu celui d’un ouvrage collectif, Le pouvoir d’être affecté. Souffrances, résistances et émancipation, qui vient d’être publié par les éditions Hermann. Il constitue le premier acte d’une action qui a été ralentie par la crise sanitaire, mais que les réunions ont relancée et qui doit également donner lieu à un colloque sur la notion de critique organisé par les 4 laboratoires, et pour le LCSP part P. Chanial.

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